Ses lèvres quittèrent les miennes pour plonger dans mon cou. C'était beaucoup plus passionné, plus sauvage. Elle déposa des baisers pleins de fougue tandis que tout mon corps commença à ce tendre. S lèvres atteignirent alors mon menton. Elle était plus dans le genre Matthew. Mon sexy voisin avec qui j'ai pas mal de hauts et de bas. Nous avons replongé un bon nombre de fois depuis ce fameux jour où nous avions décidé de ne plus se voir pour coucher. Et également depuis la naissance de notre enfant qu'il n'avait pas spécialement reconnu d'ailleurs.. J'avais était tellement faible par rapport à lui que j'en avais honte. Vraiment. Mais je m'empêchai de penser à ça en cet instant. Je ne pouvais plus du tout d'ailleurs, Claes avait prit possession de ma bouche. C'était parti. Comme un bouton qu'il suffisait d'actionner pour allumer une lumière. Le feu qui brûlait en moi était à son plus haut crépitement. Je m'abandonnai complètement à ce baiser tandis que mes jambes se dérobaient. C'était comme si je ne tenais debout que par la force de la bouche de Claes sur la mienne. Et aussi peut-être par mes mains qui avaient accroché chaque côté de ses hanches, serrant le tissu de son costume entre mes poings. Elle allait certainement ressortir avec un costume légèrement esquinté..

Jusque là, la grande blonde avait prit les dessus. Je m'activai alors, glissant mes mains sur son ventre, cherchant à tâtons les boutons de sa veste. Ma langue s'active de son côté, jouant avec celle de Claes, d'abord doucement, mais elle devient vite incontrôlable. Je trouve finalement ce satané bouton que je défais, retirant la veste à Claes doucement, m'attardant légèrement le long de ses bras dans une caresse se voulant douce. Je laisse tomber le vêtement par terre, derrière Claes, sans soucis de savoir s'il sera sali ou pas. Mes mains remontent alors vers son cou, je l'attire un peu plus vers moi, l'incitant à m'embrasser encore et toujours. Je m'écarte finalement d'elle, la regardant dans les yeux avec un sourire coquin. Mes mains redescendent à nouveau, pour atteindre le bas de son débardeur que je soulève doucement, passant par dessus sa tête, je lui enlève également, le laissons tomber tout comme sa veste quelques minutes plus tôt. Mes yeux sont tujours plongés dans les siens tandis que mes mains se promènent sur sa peau. Elle est si douce. Et si blanche. On dirait presque une poupée de porcelaine. Mes lèvres trouvent refuge dans son cou, puis je déposent des baisers, plus tendres cette fois, sur la proéminence de sa clavicule, puis sa première cotte pour finir entre ses seins. Mes mains se baladaient sur ses hanches pendant ce temps-la, puis finirent sur ses fesses.